Lampes économiques, durées de vie et enclenchements

Aujourd’hui, les lampes économiques peuvent parfaitement être installées dans des couloirs avec minuterie sans avoir une durée de vie diminuée du fait des nombreux enclenchements.

Il faut juste veiller à acheter des modèles qui ont une durée de vie d’au moins 15’000 heures et qui sont immédiatement très lumineux (turbo).

Voici l’explication du site www.topten.ch :

Pour la plupart des consommateurs, 6000 heures suffisent. Cependant, il est important de savoir qu’un autre indicateur beaucoup plus important se cache derrière la durée de vie, la capacité de commutation: actuellement, celle-ci n’est indiquée que sur les bons produits; à partir du 1er octobre 2010, la capacité de commutation devra être déclarée sur tous les emballages. On peut admettre les valeurs de référence suivantes pour la capacité de commutation:

* 6’000 heures -> 3’000 commutations (= 2 fois En-Hors par jour)
* 8’000 heures -> 4’000 commutations (= 2 fois En-Hors par jour)
* 10’000 heures -> 10’000 commutations (= 4 fois En-Hors par jour)
* 12’000 heures -> 30’000 commutations (= 12 fois En-Hors par jour)
* 15’000 heures -> 500’000 commutations (= 100 fois En-Hors par jour)
* 20’000 heures -> commutations illimitées

Le tableau permet de constater que toutes les lampes économiques de moins de 10’000 heures ont une capacité de commutation faible; cela comprend notamment les modèles largement répandus dont la durée de vie déclarée est de 8000 heures.

La Norvège inaugure le premier prototype de centrale osmotique

« Lorsque deux masses d’eau, l’une douce, l’autre salée, sont mises en contact à travers une membrane –fine pellicule qui bloque le sel mais laisse passer l’eau–, la première migre naturellement vers le contenant de la seconde, générant une pression, qu’une turbine convertit en électricité. »

Voir l’article du 20minutes

Une technologie intéressante, mais pas applicable à un pays sans eau salée.

Les négateurs du réchauffement climatique ignorent les faits

Voici un article qui répond aux quelques scientifiques qui nient la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique. Ce qui est grave, ce n’est pas que certaines personnes expriment des doutes, même infondés. C’est que cela a un très gros retentissement dans le monde. Car tout le monde attend ce type d’information pour s’éviter de devoir changer ses habitudes. Succès garanti.

Interview du Temps de Thomas Stocker, coprésident suisse du GIEC